Comment réunir les pièces manquantes pour améliorer la facturation ?

Clinique de la sauvegarde

Témoignage de la solution IDoss pour la gestion de la facturation dans les hôpitaux.

Par le docteur Hélène PARNET-MOREL médecin DIM et réponsable PMSI.

Article paru dans le numéro d’octobre novembre décembre 2018 de SIH SOLUTIONS

La facturation, un dossier épineux pour les recettes des hôpitaux. Très souvent, les factures sont envoyées avec beaucoup de retard et, parfois, ne sont tout simplement jamais éditées… Si l’on considère le reste à charge pour les bénéficiaires de soins, ces factures représentent à elles seules 1,4 milliards d’euros par an. Et la moitié de cette somme (550 millions d’euros) n’est pas recouvrée au bout d’un an


La chasse aux dossiers incomplets

Face à cette situation, la clinique de la Sauvegarde (Lyon) a cherché à améliorer la gestion de sa facturation. « Très souvent, le défaut de facturation est dû à des dossiers incomplets, explique Hélène Parnet-Morel, médecin DIM et responsable du PMSI. Le problème est qu’il est très difficile pour les établissements de savoir quels documents manquent à l’appel ». La clinique s’est donc tournée en novembre 2017 vers l’éditeur AD’Valorem (groupe Luquet Duranton) et son logiciel de gestion des pièces manquantes à la facturation I’Doss. Le logiciel permet d’identifier quels sont les dossiers incomplets et quels types de documents manquent (comptes-rendus, signatures de consentement…). « La solution est paramétrée pour qu’à la sortie du patient, selon les services où il s’est rendu, on puisse définir la liste des pièces nécessaires », explique Ludovic Chambonnet, responsable technique chez AD’Valorem. La récupération des informations sur le parcours du patient est facilitée par un interfaçage avec le SIH. De plus, il est possible d’ajouter manuellement des pièces au dossier si nécessaire.


Traçabilité et statistiques de la facturation

En plus de faciliter le recueil des pièces manquantes, le logiciel répond à une autre attente. «Dans un souci d’amélioration, nous souhaitions avoir des statistiques sur la fourniture de ces
pièces», rappelle Hélène Parnet-Morel. C’est désormais possible avec AD’Valorem puisque le logiciel fournit des tableaux de bord traçant les délais par service et par médecin. Et au-delà d’un certain laps de temps, « des relances sont envoyées par mail aux secrétariats concernés, avec la liste des documents manquants par patient », détaille Ludovic Chambonnet. Un aspect qui fait gagner un temps précieux aux TIM.

mage de la clinique de la sauvegarde utilisant Idoss de Ad'Valorem

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